La visite de Dijon, capitale de la Bourgogne

Ah Dijon, la capitale des ducs de Bourgogne, la cité des ducs, la ville aux cents clochers, la capitale de la gastronomie. Cette ville possède plein de surnoms et mérite réellement une visite avec un centre ville historique classé au patrimoine de l’Unesco. Découvrons Dijon, hop en route! 🙂

Dijon a vraiment été une très belle découverte, et j’ai envie de vous partager mon enthousiasme pour cette ville. Depuis Paris, il faut 3h de voiture ou 1h30 de train pour arriver à la préfecture du département de la Côte d’or. Comme à mon habitude, j’aime présenter un rapide portrait historique avant de partir en balade 😉

Un peu d’histoire dijonnaise

À l’origine il y avait ici une petite cité fortifiée gallo-romaine, appelée Divio, au milieu d’une plaine fertile. Elle traverse le moyen-âge sous le nom de Dijon. Au XIe siècle elle rejoint le duché de Bourgogne dont elle devient la capitale. Les ducs de Bourgogne vont faire de cette province une grande puissance. Au XVe siècle, c’est l’apogée et la construction des principaux monuments de la ville. La Bourgogne s’étend alors jusqu’aux Pays-Bas. Elle tente même de devenir un royaume indépendant! Après une longue lutte de pouvoir et la guerre de Cents Ans, elle est finalement rattachée au Royaume de France. En 1513, le Saint Empire Romain Germanique tente de prendre Dijon et fait un long siège avec une armée composée de mercenaires suisses. Le gouverneur de la ville arrivera a faire lever le siège en promettant une forte somme d’argent aux suisses. Dijon abrite le Parlement de Bourgogne et la noblesse fait construire de nombreux hôtels particuliers à travers la cité. Plus tard, c’est le règne des Princes de Condé. Quand arrive la Révolution, de nombreux monuments sont détruits (la Charteuse de Champmol, la Rotonde Saint-Bénigne, la Sainte-Chapelle, et la grande statue en bronze de louis XIV). La petite ville sort de son carcan médiéval et s’agrandit. Les anciens remparts et le château sont démolis. Par chance, la ville de Dijon ne souffre pas trop lors des Guerres Mondiales. Elle offre maintenant un joli centre historique vraiment très agréable à visiter 🙂

Commençons la visite depuis la Gare de Dijon. On rejoint la Place Darcy et son joli jardin avec des fontaines et des cascades. Il y a d’ailleurs une anecdote étonnante à ce sujet! En 1840, un aqueduc souterrain est creusé pour alimenter un grand réservoir sous le sol. Il permet d’alimenter toutes les fontaines de la ville et d’amener l’eau aux étages de toutes les maisons. À l’époque, Dijon est la deuxième ville d’Europe après Rome à avoir l’eau courante!

Le centre historique de Dijon

Le centre historique de Dijon est classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Il est principalement piéton 🙂 Rentrons par la Porte Guillaume, surnommée l’Arc de Triomphe de Dijon. Cette porte symbolise l’entrée de la ville. Elle est construite en 1788 en hommage au Prince de Condé, à l’emplacement d’une ancienne porte des remparts du moyen-âge. Elle sera renommée plus tard en hommage à Guillaume de Volpiano, l’abbé de l’ancienne abbaye Saint-Bénigne du XIe siècle.

La Porte Guillaume donne sur la Rue de la Liberté. C’est la principale rue piétonne et commerçante de la ville. C’est le lieu de promenade obligatoire des dijonnais. La balade amène naturellement devant la célèbre Maison aux trois visages. Ce bâtiment qui date de 1470 est sans doute le plus bel exemple de maison à colombages de la ville 🙂

Un peu plus loin, on arrive à la Place Rude. C’est une jolie place pittoresque et touristique. Maisons à colombages, manège ancien, sol pavé, et des belles terrasses. Tout est là pour en faire une véritable carte postale 🙂 Elle est nommée en hommage au célèbre sculpteur François Rude qui est né dans une maison juste à coté. Je vous en reparle un peu plus tard sur cette page.

Cette place porte aussi un nom étrange : la place du Bareuzai. Ce nom fait référence à une petite statue de la fontaine située sur la place. Cette statue représente un vendangeur foulant du raisin avec ses pieds. Ceux qui faisaient cette activité avaient le bas des jambes teinté de rose. Ils avaient alors les bas rosé, et on les appelait donc les « bareuzai« . Hop le mystère est résolu! 🙂

La Place de la Libération

La longue Rue de la Liberté fini par déboucher sur la Place de la Libération. C’est la grande place royale du centre de la ville. Il y avait là une grande statue équestre en bronze de louis XIV. À cause de son poids (26 tonnes) et du mauvais état des routes, il avait fallu des années pour la transporter de Paris jusqu’ici! Comme tant d’autres choses, cette grande statue sera détruite lors de la Révolution…

Maintenant, chaque année au centre de la place, il y a le grand sapin des féeries de noël. Ce sapin monumental n’est en fait un pas un véritable grand sapin. C’est une structure métallique sur laquelle on installe 361 petits sapins en provenance du Morvan. Ils sont assemblés pour faire cette incroyable cône végétal 🙂 Pour profiter pleinement de cette ambiance de fêtes, vous trouverez plus d’infos sur le programme des Féeries de noël de Dijon sur le site officiel.

Le Palais des Ducs de Bourgogne

La Place de la Libération s’ouvre sur le Palais des Ducs de Bourgogne. Ce grand ensemble architectural est le cœur de Dijon. Il abrite actuellement l’Hôtel de Ville de Dijon et le Musée des Beaux Arts. Son histoire remonte au XIVe siècle, quand les ducs décident d’agrandir leur château. Il sera considérablement transformé au fil des siècles. Il devient le palais des gouverneurs de Dijon, puis une résidence royale quand un roi de France est de passage en bourgogne.

La partie la plus ancienne du palais c’est la tour du Bar (ou Tour Philippe le Bon). Elle est construite en 1460 d’abord comme tour de guet. Avec ses 6 étages et une hauteur de 46m, elle domine le centre ville. C’était un véritable symbole de puissance des ducs de Bourgogne visible par tous. On peut grimper au sommet pour avoir une belle vue panoramique sur la ville (tarif 6 euros, réservation obligatoire à l’Office du Tourisme au 11 rue des Forges).

À l’arrière du Palais, il y a le joli square des Ducs avec ses grands arbres centenaires. Ce jardin à l’anglaise remodelé au XIXe siècle, c’est tout ce qu’il reste du grand jardin médiéval de Marguerite de Flandres, épouse du Duc Philippe le Hardi. Elle avait fait aménager un grand parc avec une véritable animalerie (oiseaux, chevreuils et sangliers). Dans un grand bassin d’eaux vives, il y avait même un marsouin! Pour rappel, un marsouin est un cousin du dauphin. Amazing!

Dans ce square on trouve une grande statue. C’est Philippe Le Bon. Au XVe siècle, ce Duc de Bourgogne fait alliance avec les anglais pendant la guerre de Cent Ans, car il estime que le roi de France est responsable de l’assassinat de son père (Jean sans Peur). Les armées de Philippe le Bon captureront Jeanne d’Arc et la livreront aux anglais. Plus tard, réconcilié avec le Roi de France, il deviendra un des seigneurs les plus puissant d’Europe et fera briller la Cour de Bourgogne. Je vous rappelle les noms de cette fameuse lignée des ducs de Bourgogne issues de la Maison de Valois. De pères en fils, ils firent les grandes heures de la Bourgogne : Philippe le Hardi, Jean Sans Peur, Philippe le Bon, et Charles le Téméraire.

La ville aux cents clochers

Dijon est aussi surnommée la Ville aux Cents Clochers en raison des nombreuses églises construites. Je vous rassure, il n’y en a pas cent, et je ne vais pas vous faire la visite de toutes 😉

Commençons par visiter la principale, l’église Notre Dame de Dijon (et sa chouette). Elle se trouve juste à coté du Square des Ducs. Cette église est une magnifique réalisation de l’architecture gothique du XIIIe siècle. Même Eugène Viollet-le-Duc a dit que Notre Dame de Dijon était « un chef-d’œuvre de raison ». Elle mesure 65m de long et sa flèche atteint 83m de haut. Ce qui marque le plus, c’est sa façade vraiment unique. C’est la seule église gothique de France avec cette apparence, comme un écran!

On compte 51 gargouilles sur cette étonnante façade. Elles sont juste pour la déco, car elles ne servent pas à recracher l’eau de pluie. D’ailleurs, elles ne devraient même plus être visibles. On raconte qu’en 1240, un jeune couple allait rentrer dans l’église pour se marier. Et paf! une gargouille tombe sur la tête du futur marié, le tuant sur le coup! La ville a alors décidé de retirer toutes les gargouilles (sauf une). Ce n’est que lors d’une restauration de l’église en 1882 que des sculpteurs ont taillés à nouveau ce bestiaire fantastique en pierre. Et cette fois, elles sont bien fixées! Enfin on espère 😉

Sur le toit de l’église, il y a un campanile avec une horloge. Mais il y a surtout le Jacquemart. Il s’agit d’une prise de guerre de Philippe le Hardi. En 1382, alors qu’il guerroyait à Coutrai en Belgique, il décide de faire démonter la grosse cloche de la ville et surtout son automate qui été connu dans toute la région. Une fois de retour en Bourgogne, l’automate est installé au sommet de l’église de Dijon. Il sonnera la cloche toutes les heures. Deux siècle plus tard, on lui rajoute une copine, une automate femme. C’est Jacqueline, qui frappe les heures avec lui. Au bout de cent ans, ils ont un enfant! Il y a un nouveau petit automate, Jacquelinet, pour sonner les demi-heures. Enfin, encore un siècle plus tard en 1884, une petite sœur Jacquelinette le rejoint! La petite famille ne s’est pas agrandi depuis 🙂

À l’intérieur de cette église on trouve la statue Notre-Dame de Bon-Espoir. C’est une statue en bois de la vierge qui date du XIe siècle. Ce serait une des plus anciennes statues de la Vierge en France. Elle a été peinte en noir au XVe siècle, sans qu’on sache pourquoi. Elle est souvent habillée d’une grande robe brillante. On lui attribue le « miracle » de la levée du Siege de Dijon de 1513. Un autre miracle, après une messe à la Vierge, Dijon est libérée en 1944. Un 11 septembre, exactement la même date que pour le fameux Siège quatre siècles plus tôt. Incroyable! 🙂

Ne loupez pas au niveau du portail de l’église, la petite tête de diable. Elle est enchainée pour montrer que le mal reste à l’entrée et ne peut pas rentrer!

Ce qui rend cette église célèbre, c’est aussi la chouette! Cette fameuse chouette, c’est une pierre sculptée dans un angle à l’extérieur de l’église. Elle est devenu l’emblème de la ville. En fait, on ne sait absolument pas qui l’a sculpté, ni quand, ni pourquoi. On n’est pas vraiment sûr non plus que ce soit véritablement une chouette. Comme elle se trouve à l’angle de la rue de la Chouette, ça paraissait logique que ce soit elle. Elle est terriblement usée à cause d’une tradition ancienne disant qu’il faut caresser la chouette de la main gauche et faire un vœu 😉

(Pour info la pierre actuelle de la chouette est une pierre polie réalisée à partir d’un ancien moulage. Car en 2001, un détraqué l’a abimé à coups de marteau! pfff … elle est maintenant surveillée par caméras)

Juste à coté de l’église Notre Dame, vous pourrez découvrir le plus bel hôtel particulier de Dijon. Il s’agit de l’hôtel de Vogüé avec sa jolie toiture en tuiles vernissées de bourgogne.

Il a été bâti en 1614 par un riche conseiller du Parlement de Bourgogne.

L’autre grande église de Dijon, c’est la monumentale église Saint Michel. Elle remplace la précédente église qui était devenue trop petite. À partir de 1497, on lance les travaux. Elle est consacrée en 1529 mais les tours de la façade ne seront achevées qu’en 1667. Sa façade aussi est unique car elle mélange le style gothique et Renaissance!

J’ai omis la Cathédrale Saint-Bénigne de Dijon, une ancienne abbaye devenue cathédrale en 1792. En fait je ne l’ai pas trouvé très intéressante … mais elle a une magnifique toiture en tuiles vernissées de Bourgogne! 😉

Le Musée des Beaux Arts de Dijon

Alors mesdames et messieurs, s’il y a bien un endroit à visiter à Dijon, c’est celui là! Le Musée des Beaux Arts de Dijon est absolument incroyable! Déjà, c’est un des plus vieux musées de France. Il est ouvert gratuitement au public dès 1787 (bien avant le Louvre). C’est surtout un musée incroyablement riche. Je ne m’attendais vraiment pas à voir autant de belles choses 🙂

Comme expliqué un peu plus haut dans l’article, il est est installé dans les ailes du Palais des Ducs de Bourgogne. L’entrée donne le ton avec un escalier monumental! Après une collection sur l’antiquité, on arrive dans la galerie Bellegarde avec sa collection médiévale.

Parmi toutes œuvres présentées, mention spéciale pour les magnifiques retables du XIVe siècle par le célèbre sculpteur flamand Jacques de Baerze.

Ils étaient auparavant dans la Chartreuse de Champmol. C’était le grand édifice construit par Philippe Le Hardi pour avoir une nécropole des ducs de bourgogne qui pourrait rivaliser avec celle des rois de France à Saint Denis. La Chartreuse de Champmol a été en partie détruite par la Révolution puis est devenue un hôpital. Heureusement, une grande partie des ses œuvres d’art ont survécus et sont exposées ici.

Dans les musées, j’aime aussi prendre en photo les pires ratés! La peinture à l’époque médiévale, c’était pas si facile 😉

Je vous présente donc les terrifiant dragons qui affrontent Sainte Marguerite, le bœuf de la Nativité sous ecstasy, le Christ avec des soucis de vertèbres cervicales et un soldat romain derrière lui avec un air vraiment trop cheulou!

On peut aussi voir un moulage en provenance du Puits de Moïse de la Chartreuse de Champmol. Avec surprise, on découvre que Moïse est cornu! Ces cornes mystérieuses proviennent d’une mauvaise traduction de l’Ancien Testament, et ça a pas mal embêté les artistes pendant des siècles!

On arrive ensuite dans l’ancienne grande salle d’apparat du Palais avec sa cheminée monumentale. C’est ici que sont exposés les tombeaux des Ducs Bourgogne. Ils étaient eux aussi dans la Chartreuse de Champmol. Détruits en morceaux à la Révolution, ils sont restaurés en 1827. Ce ne sont en réalité que des statues peintes (les véritables dépouilles des Ducs reposent dans des caveaux de la cathédrale). On peut voir les gisants de Philippe le Hardi, Jean Sans Peur et son épouse Marguerite de Bavière. Les suivants n’ont pas continué la tradition.

Après avoir croisé une impressionnante sculpture de la mort du XVIe siècle en provenance de l’ancienne abbaye de Clairvaux, on déambule à travers une multitude d’œuvres de la renaissance. Puis, on arrive dans la magnifique salle des statues!

Il y a ici le très beau Gladiateur Combattant (1786) de Pierre Petitot, inspiré du célèbre gladiateur antique Borghèse du Louvre. Coup de cœur pour Hébé et l’aigle de Jupiter (1857). C’est une œuvre de François Rude. Cet artiste à Dijon est célèbre pour avoir sculpté entre autre la grande Marseillaise de 11m de haut sur l’Arc de Triomphe à Paris.

On trouve d’autres belles réalisations de François Rude, comme le Jeune pécheur napolitain et Louis XIII enfant.

Plus loin, derrière la belle statue du Faucheur d’Henri Bouchard, on peut découvrir la collection des œuvres du XIXe siècle.

Là aussi quelques coups de cœur avec par exemple Félix Trutat et le Portrait de l’artiste et sa mère, un jeune peintre dijonnais mort de la tuberculose à 24 ans en 1848.

Ou Alphonse Legros avec cette étude de tête.

Une autre icône de l’art, c’est le Pompon! 🙂 Enfin il s’agit plutôt des sculptures animalières de François Pompon, né à Dijon en 1855. Ses œuvres sont facilement reconnaissables avec un style novateur et des surfaces simples lisses et polies.

Le Musée des Beaux Arts de Dijon possède aussi une partie contemporaine et moderne avec par exemple des œuvres de Maria Helena Vieira da Silva, l’éclatement de Judit Reigl ou la Vache-paysage de Samuel Buri.

Si vous voulez aussi découvrir ce très beaux musée (et bien sûr que vous en avez envie), retrouvez toutes les infos sur le site officiel. Ah oui en plus, il est gratuit! 😉

La gastronomie à Dijon!

Dijon est aussi la capitale de la gastronomie! La Bourgogne regorge de spécialités culinaires comme le bœuf bourguignon, le jambon persillé, les escargots de Bourgogne, les œufs meurettes, les gougères, etc … il semblerait par contre que la fondue bourguignonne soit en réalité d’origine suisse mais avec de la viande originaire de Bourgogne. Ouf, l’honneur est sauf!

Bien évidemment il y a la célèbre moutarde de Dijon! Elle était déjà populaire au XIIIe siècle. Son appellation n’est pas protégée. En fait « Moutarde de Dijon », ça correspond à une méthode de fabrication, pas un terroir. On peut faire de la moutarde de Dijon partout. Mais comme c’est plus sympa d’en faire à Dijon, il est possible de participer à un atelier de création de votre véritable moutarde 🙂 Pour ça, il faut réserver en ligne. Ca se passe dans une ancienne moutarderie (86 Rue Monge), en association avec la maison Edmond Fallot, dernier moutardier artisanal de Dijon. On peut visiter une boutique-atelier (16 Rue de la Chouette).

Tout le monde connait le Kir? Ce mélange de vin blanc (bourgogne aligoté) et de crème de cassis a été inventé à Dijon. Il a hérité du nom de Félix Kir, le maire de Dijon de 1945 à 1968. À boire avec modération (ou pas 😉 ), accompagné de bonnes gougères, un classique!

Si vous cherchez où boire des bons cocktails à Dijon, ne cherchez plus! Il y a une adresse incontournable, c’est Monsieur Moutarde (40 rue des Forges). Installé dans une ancienne bâtisse du XIIIe siècle, avec une déco parfaite, c’est l’endroit idéal pour venir se poser après une journée de visite. Allez-y vous ne le regretterez pas 😉

Si vous préférez le chocolat, alors je vous conseille la boutique Fabrice Gillotte (21 rue du Bourg), meilleur ouvrier chocolatier de France 😉

Il y a aussi les grandes halles de Dijon, inscrites aux monuments historiques, pour y faire son marché et gouter les meilleures spécialités. Tout autour des halles, c’est une succession de restaurants et de bars. Vous y trouverez votre bonheur 🙂

Enfin, Dijon possède maintenant la Cité internationale de la Gastronomie et du Vin. Plus d’infos sur le site officiel. Je ne l’ai pas visité et à vrai dire pour la gastronomie et le vin, je préfère aller directement dans les restaurants haha

Un peu plus à découvrir ?

Vous pouvez aller à l’ancienne Chartreuse de Champmol voir le fameux Puits de Moïse. Ce grand socle sculpté de 7m de haut a survécu à la Révolution. Si vous avez envie de verdure, une balade dans le Jardin Botanique de l’Arquebuse est toujours agréable! Enfin on n’oublie pas le vin, car à moins d’une heure de route, il y a les Hospices de Beaune à découvrir!

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