Amsterdam – Centre
Bienvenue à Amsterdam. Il y a de grandes chances pour que votre arrivée dans la ville se fasse en train et donc, vous voici en gare d’Amsterdam. Alors que l’intérieur de la gare est très moderne (et même très bien organisé je trouve), une fois dehors en voyant la façade on s’aperçoit qu’on est devant un sacré bâtiment classé « monument national ».
La gare a été construite en 1889 et repose sur des pilotis ! (3867 il parait). Tout le sable et la terre issu des travaux du grand canal du nord ont permis de créer l’ile artificielle où elle est située.
Même si la façade historique a « du cachet » comme on dit, durant votre séjour, pensez à faire un tour à l’arrière de la gare pour voir la grande verrière moderne digne d’un aéroport.
Si les distributeurs de billets & tickets de bus etc ne fonctionnent pas bien dans la gare, pas de panique, en sortant, juste devant vous sur votre droite se trouve l’office de tourisme qui en vend, et il est idéalement situé dans une petite maisonnette charmante.
Ensuite au choix : le métro, les bus et les tramways sont directement à votre portée. Il est aussi super facile de rejoindre le centre à pieds, il suffit d’aller tout droit, il n’y a pas plus simple.
Il suffit de suivre le Damrak, c’est l’artère principale de la ville, qui relie la gare au Dam, la grande place de la capitale. Damrak, c’était le nom de l’ancienne rivière (prolongement de la rivière Amstel, oui comme la bière) qui traversait la ville à l’origine et qui a été comblée pour devenir une grande rue.
En marchant, on longe un énorme bâtiment en briques (141m de long), c’est la Bourse d’Amsterdam, aussi appelée Bourse de Berlage (du nom de son architecte). Construit de 1898 à 1903 dans un style moderne et art nouveau, le bâtiment abrite donc la Bourse d’Amsterdam, en remplacement de l’ancien établissement tombé peu à peu en ruine. Car il faut savoir qu’Amsterdam est considéré comme la première ville du monde à avoir eu une place boursière. En 1602, les hollandais fondent la Compagnie des Indes Orientales et sont sans cesse à la recherche de financements pour leurs opérations commerciales, et tout ça se réuni et s’organise dans un même lieu et hop la bourse est née.
Aujourd’hui ce bâtiment abrite aussi l’orchestre philharmonique néerlandais, des salles d’expositions et conférences, et un musée de la bourse.
En continuant l’avenue on arrive sur le Dam, c’est la plus grande place de la capitale. C’est le centre historique de la ville. C’est ici qu’à été construit un barrage (dam) sur la rivière Amstel en 1270. Le petit village à côté du barrage a reçu l’exonération des taxes de péages et ça lui a donné un avantage décisif sur le commerce et petit à petit, le village est devenu la ville d’Amsterdam a prospéré autour de ce vieux pont-barrage. Il n’en reste plus rien mais tout a commencé ici.
Est-ce que la place est belle ? Franchement j’ai pas aimé. C’est Tourist-land, grandes boutiques partout, H&M & co, pizza & burgers, vendeurs à la sauvette, hordes de pigeons, et la foule, bref que du bonheur haha! 🙂 Si ça vous tente il y a le musée de cire de Madame Tussauds (sur la droite de la photo) ouvert en 1970 (c’est d’ailleurs le premier ouvert à l’étranger après la création de celui de Londres).
Il y a un grand monument blanc dans un coin de la place, c’est le Monument National, construit en 1956 en hommage aux soldats morts pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Voili voilou, et maintenant ça sert d’avantage de point de rassemblement que de point de recueillement.
De l’autre côté de la place, il y a ce grand bâtiment (gris et moche?). C’est le Palais Royal d’Amsterdam. Là aussi je ne suis pas vraiment emballé. Peut être qu’après une bonne rénovation il aurait meilleure allure (le grès utilisé pour la façade s’assombrit chaque année). Il faut tout de même lui reconnaitre qu’il n’est pas jeune du tout, il a été construit entre 1648 et 1665.
Au moment de sa construction c’était le plus grand bâtiment administratif du monde et une immense fierté pour les habitants qui le surnommait « la 8e merveille du monde ». C’était le symbole de la puissance d’Amsterdam et il a couté une véritable fortune (8.5 millions de florins, pour l’époque ça doit faire beaucoup). Lui aussi est sur pilotis, il y en a 13 659 en dessous. Ce qui est assez bizarre quand on est devant c’est qu’on se demande où est la grande porte d’entrée monumentale ? Et bien il n’y en a pas! A la place, il y a 7 petites portes discrètes qui représentes les 7 provinces unies .
En
1808, Louis Bonaparte (le frère de Napoléon) qui est alors roi de Hollande décide de s’installer à Amsterdam et
change l’hôtel de ville en un palais royal. Il fait réaliser quelques aménagements intérieurs, changement de mobilier, etc … mais rien à faire, le palais ne lui plait pas vraiment et il en fait un musée royal
(avant d’être chassé de Hollande par Napoléon en 1810 car son frangin ne respectait pas sa volonté mais ça c’est une autre histoire). Depuis le palais est utilisé par la monarchie pour les grands évènements, expositions et les réceptions officielles en ville.
Pour la visite, ça se passe ici :
https://www.paleisamsterdam.nl/en/
La vue de la façade arrière du même palais depuis la rue
Nieuwezijds Voorburgwal. C’est toujours pas folichon hein … Ah tiens, si vous faites attention, juste en face vous verrez un grand W lumineux, le symbole de Largo Winch ?.. presque .. c’est le
W, un super hôtel de luxe, si vous avez les moyens quoi.
Autour de la grande place, il y a un autre édifice qu’on ne peut pas louper, avec sa grande façade gothique, c’est la Nouvelle Église, De Nieuwe Kerk. Il y avait déjà une grande église à Amsterdam (Oude Kerk, la vieille église, qu’on verra plus loin d’ailleurs), mais en 1408 elle commence à être trop petite pour le nombre de fidèles qui ne cesse de grandir. L’évêque d’Utrecht autorise sa construction, et un riche marchand cède un terrain et donne l’argent. Hop, une belle église gothique! Après quelques incendies, une reconstruction en 1645 et un grand dépouillement de l’intérieur quand le pays est passé au protestantisme, l’église est toujours là. C’est ici que prêtent serment les souverains des Pays-Bas (ils ne sont pas couronnés) et c’est le lieu des grandes expositions (cette fois là, c’était Jeff Koons, et pas moyen de cautionner cet « artiste » alors pas de visite na!).
En face de l’autre côté de la rue, il y a un grand bâtiment avec une façade dans le style néogothique et néo-renaissance hollandais (si si), datant de 1899. C’est l’ancien bureau de poste de la ville (un gros truc pour du courrier!). Il est vendu en 1987 à des promoteurs qui l’ont reconvertis en centre commercial, c’est maintenant le Magna Plaza. Même si vous n’avez pas envie de faire du shopping, ça vaut le coup de rentrer y jeter un œil 🙂
Ensuite, on s’engage dans la petite rue de Kalverstraat. Elle est assez étroite, mais sur 750 mètres de long il y a plus de 150 boutiques en tout genre. C’est la rue la plus chère de la capitale (et la plus chère au Monopoly hollandais), et il y a vraiment beaucoup, beaucoup de monde.
Cette rue a aussi servi à la renommée d’Amsterdam, car le 16 mars 1345 un miracle s’est produit ici. Dans cette rue, quelqu’un recevait donc les derniers sacrements sur son lit de mort. On lui donne l’hostie, mais à cause de la maladie, il la rejette en vomissant. Comme on ne jette pas une hostie à la poubelle, elle est mise au feu dans la cheminée. Le lendemain matin dans les cendres, on retrouve l’hostie intacte! Le prêtre la ramène discrètement à l’Oude Kerk mais le lendemain, on la retrouve au même endroit dans la maison du mort. Miracle ! L’évêque d’Utrecht confirme le miracle, et une grande procession est réalisée pour l’amener à l’église et cette fois, elle ne s’échappe plus. Une chapelle est construite à la place de la maison du mort. Cet évènement a fait beaucoup de bruit et le buzz à fait venir de nombreux pèlerins dans la ville … et qui dit pèlerins dit business 😉 Même l’empereur Maximilien d’Autriche de passage dans la ville y fera un tour car malade. Il prie dans la chapelle pour être guéri et hop il va mieux, miracle! En remerciement il permet à Amsterdam de rajouter la couronne impériale à ses armoiries (sympa). Hélas, pas la peine de rêver pour d’autres guérisons miraculeuses, la chapelle a été détruite en 1908. Depuis, tous les ans de nombreux fidèles continuent de commémorer ce miracle en faisant une marche silencieuse dans cette rue (car pendant longtemps les protestants interdisaient cette marche) jusqu’à l’Oude Kerk, c’est la Stille Omgang.
Bon revenons à notre rue miraculeuse. Alors que vous vous frayez un passage à travers la foule, au milieu des boutiques à souvenirs,de fringues, de baskets, et des pizzerias, mauvais coffee shop et bars à shisha, arrêtez vous devant le MacDo. Mais pour quoi faire me direz vous ?? Et bien regardez sur le trottoir d’en face, au n°58, il y a une façade étroite avec un style ancien. Étrange, ça mérite d’y jeter un œil. On entre et paf! on se retrouve au calme dans une église secrète cachée!
C’est l’église « Perroquet » (papegaai). Elle doit ce surnom bizarre à la boutique d’oiseaux qui servait de façade et de « couverture ». Son vrai nom c’est l’église HH. Saints Pierre et Paul. Le culte catholique était interdit par les protestants, et les églises clandestines devaient rester cachées. Celle là date de 1700. Que vous soyez croyants ou non, c’est assez surprenant de se retrouver ainsi au calme en deux secondes en venant de la rue bondée!
Toujours dans la même rue un peu plus loin au n°92, un minuscule passage part sur la droite pour passer sous un porche, c’est ouvert, bon bin hop en route on va voir quoi! 🙂
On découvre
un autre lieu caché. C’est
l’Amsterdam Museum. Ça commence par une grande cour intérieure au calme avec un café terrasse sympa, le
Museumcafé Mokum, un véritable havre de paix. Le lieu est assez particulier, car
on est dans les anciennes étables de l’abbaye de Saint-Lucien, fondée en 1414. Il y a plein d’infos historiques intéressantes à lire tout autour.
On ne l’a pas fait et il parait que ça explique entre autre la vie d’un vieil orphelinat avec reconstitution et tout. On a préféré prendre le passage couvert juste à côté, la galerie de la garde civile. C’est gratuit et rempli de nombreuses œuvres d’art hollandaises de toutes les époques (du contemporain aussi), et aussi … les statues de David et Goliath en bois, datant du XVIIe siècle et qui servaient d’attraction dans un parc … (sur place regardez de plus près la tête de David, il y a de quoi rire haha).
Toujours dans le coin, il y a encore un lieu caché! On y accède par la petite ruelle Gedempte Begijnensloot (ou par une petite porte discrète, sur la place Spuiplein ,avec écrit Bagijnhof juste au dessus). On franchit un petit portail et on se retrouve dans une grande et vaste cour intérieur. C’est calme, paisible et c’est beau. C’est le Béguinage d’Amsterdam.
Qu’est ce que c’est donc ? C’est ici où vivaient les béguines. Au moyen-age les couvents étaient souvent surpeuplés, alors des femmes fondaient des communautés auto-gérées, laïques et semi monastiques. C’est un peu l’équivalent des nonnes mais avec un peu plus de libertés. Ce sont les béguines.
Après la construction de l’abbaye voisine, on fit construire dans cette grande cour médiévale des maisons pour héberger les béguines. Pendant la répression contre les catholiques, elles furent autorisées à rester ici car les maisons étaient leurs propriétés privées. C’est d’ailleurs ici que se trouve une des plus anciennes maisons d’Amsterdam, avec une façade noire en bois et date de 1470, surnommée Het Houten Hous. C’est aussi la dernière maison en bois de la ville car suite à de terribles incendies, à partir de 1521 toutes les maisons devaient être en briques.
L’église réformée anglicane qui trône au milieu de cette cour intérieure peut se visiter mais il n’y a pas grand chose à voir à l’intérieur
(elle ferme tôt) http://www.ercadam.nl/
Il y a une béguine célèbre, Cornelia Arens. Elle a décidé qu’à sa mort elle ne serait pas enterrée à l’église anglicane (la coutume voulait qu’on soit enterré dans les églises) mais elle préférait être enterrée dans le caniveau! En fait ses parents s’étaient convertis au protestantisme et elle voulait faire pénitence pour eux, le sens du sacrifice tout ça. A sa mort donc en 1654, rien à faire, on l’enterre dans l’église … mais le lendemain, miracle! son cercueil est dans le caniveau à l’extérieur de l’église. On recommence l’opération et trois fois de suite, son cercueil se retrouve « miraculeusement » dans le caniveau dehors. Finalement sa dernière volonté est respectée et elle enterrée là. Donc si vous êtes attentifs, près de l’église, vous verrez une plaque au sol qui marque l’emplacement de sa tombe.
Juste en face de l’église anglicane, il y en a une autre très discrète, encore une église cachée, à l’intérieur d’une maison. C’est la chapelle catholique du Béguinage. La cohabitation entre catholiques et protestants n’était vraiment pas bonne …
La dernière béguine qui vivait ici est morte en 1971. Maintenant, toutes les maisons sont habitées par des particuliers, et ils voient défiler chaque jour des centaines de touristes…
(attention aux horaires, ouverture de 9h à 17h pour le public).
En partant vers l’est on arrive au métro Rokin et il y a la statue d’une dame à cheval. Ce n’est pas n’importe qui, il s’agit de la reine Wilhelmine. Pour les hollandais c’est un des plus grands personnages du pays au XXe siècle. C’est la reine du pays de 1890 à 1948.
Elle permet aux Pays-Bas de rester « neutres » pendant le Première Guerre mondiale. En 1940, quand le pays est envahi par les nazis sans déclaration de guerre, elle s’enfuit avec la famille royale et s’installe en Angleterre. Elle renie son premier ministre qui essaye de négocier avec Hitler. Elle empêche le rachat par les nazis de la compagnie pétrolière Dutch Shell en faisant monter le prix des actions grâce à sa fortune. Elle essaie d’organiser les poches de résistances du pays. Churchill dira d’elle que c’était « le seul vrai homme parmi tous les chefs d’états réfugiés à Londres ». Elle abdiquera pour sa fille Juliana en 1948 et meurt en 1962. Bref, les néerlandais l’aiment bien!
On remonte ensuite au nord de la vielle ville, en direction de la Vieille Église d’Amsterdam, De Oude Kerk. C’est un des plus vieux monuments de la ville. Sa construction a commencé en 1306, d’abord comme une petite église pour les pécheurs du village qu’était Amsterdam à l’époque. Elle devient ensuite un lieu de pèlerinage suite au miracle de l’hostie (voir plus haut). Un siècle plus tard, le village est devenu une grande ville et une nouvelle église est bâtie (De Nieuwe Kerk), et de fait, cette église devient la Vieille église (De Oude Kerk).
Au moins 10.000 personnes ont été enterrées sous le dallage de l’église depuis son origine, la dernière date de 1891. Le clocher mesure 67m. L’entrée est payante et il y a régulièrement des expositions à l’intérieur … se renseigner.
Bonus, en faisant le tour de l’église vous verrez un joli petit jardin clôturé, c’est ici que se trouve De Koffieschenkerij. C’est un très chouette café 🙂
Ah mais au fait,
on est dans le quartier De Wallen, mais il est surtout connu pour son autre nom,
le Quartier Rouge. Mondialement connu. C’est ici qu’on retrouve la majorité des
prostituées derrière des vitrines, éclairées de néons rouge et rose la nuit. Oui,
la prostitution est légale aux Pays-Bas. Toutes les travailleuses du sexe ici ne sont pas esclaves. Elles louent leur « lieu de travail ». Ne pas aller dans ce quartier, c’est fermer les yeux sur une réalité, voir même une banalité de la ville. Y participer c’est encourager les possibles trafics. Bref à vous de faire votre choix. Si vous aimez l’ambiance des rues où ça sent la bière et le cannabis, et où des groupes de mecs bourrés se marrent devant les vitrines en se faisant aguicher par des filles quasi à poil, c’est pour vous. En tout cas on peut très bien y passer sans que rien de grave n’arrive. Ça reste un quartier « chaud » dans tous les sens du terme, il suffit de faire attention. Et le labyrinthe de vieilles ruelles étroites vaut tout de même le coup. Il y a même un air de
Venise à certains endroits 🙂
Un peu plus loin, en rejoignant la rue Zeedijk on rentre dans le Chinatown d’Amsterdam. Et le lieu le plus emblématique de la rue, c’est ce grand temple asiatique. C’est le temple Fo Guang Shan Holland, fondé par des bouddhistes chinois implantés à Taïwan
Entrée libre et gratuite de 12h à 17h.
Au bout de la rue on arrive sur la place du Nieuwmarket et au centre se trouve le Waag. Sur la place du Nouveau marché, vous aurez de bonnes chances de tomber sur un marché saisonnier, un marché aux puces etc .. Les canaux qui passaient ici ont été bouchés et des maisons détruites pour permettre la construction du métro et le passage d’une voie rapide. Le métro est là, mais pas la route, et tant mieux 🙂 Le Waag, c’est une ancienne porte d’entrée de la ville médiévale, à l’époque où il y avait encore une muraille fortifiée tout autour. La bâtiment abritera ensuite des guildes et corporations, et tombera un peu dans l’abandon avec le temps. Maintenant, c’est un resto plutôt chic.
En s’éloignant un peu vers l’est, il y a un édifice assez spectaculaire je trouve. Isolé dans l’angle d’une avenue et d’un canal, il ne laisse pas indifférent avec son étrange architecture. C’est le Scheepvaarthuis, l’ancienne maison de la Marine. Il est construit en 1916 pour abriter les activités de six compagnies maritimes. C’est un exemple du style architectural de l’école d’Amsterdam. Maintenant, c’est l’hôtel le plus luxueux de la capitale, un 5 étoiles, le Grand Hôtel Amrâth. Personnellement, je trouve qu’il a le look d’un hôtel pour film d’horreur haha
Un peu plus loin, encore un monument au design immanquable, c’est le NEMO Science Museum. Il est situé juste au dessus de l’entrée du Tunnel routier de l’Ij qui passe sous le canal. C’est un grand bâtiment dédié à la découverte scientifique grâce aux expériences, et c’est surtout destiné aux enfants. Il y a un grand toit terrasse (accès gratuit) avec des jeux d’eau.
Juste après se trouve le Musée maritime. Aussi appelé le Rijksmuseum Nederlands Scheepvaart, c’est le plus grand musée au monde consacré à la navigation. Le bâtiment rénové entièrement en 2011 possède un énorme toit en verrière qui recouvre la grande cour intérieur. A l’extérieur des répliques de navire, dont le voilier Amsterdam de la Compagnie des Indes et qui s’échoua sur les côtes anglaises en 1749 pour son premier trajet vers les Indes.
La suite des autres quartiers d’Amsterdam 🙂
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