Vous souhaitez partir quelques jours en Sardaigne ? Très bonne idée! Je vous propose une chouette itinéraire et des idées de visite pour découvrir le nord cette très belle île. Ce fut un coup de cœur, et j’espère que ce sera encore mieux pour vous! Hop en route 😉
Olbia, la prospère
En réalité je n’ai pas grand chose à dire sur la ville d’Olbia « la prospère ». C’est un peu la capitale du nord-est de la Sardaigne avec une importante activité portuaire. Elle n’est pas particulièrement touristique, mais avec son aéroport (Aeroporto Olbia Costa Smeralda) et ses vols low-cost, c’est une porte d’entrée privilégiée et économique pour visiter le nord de la Sardaigne 🙂

Après avoir atterri en fin de journée, récupéré le logement près de l’aéroport ainsi que la voiture de location, nous avons simplement profité de la douceur de la soirée. Il y avait une jolie marina moderne à quelques rues, et nous avons passé une chouette soirée sur la terrasse du restaurant Il Molo 🙂
L’idée pour la suite de ce séjour sera de filer tout à l’ouest, de principalement profiter des plages et revenir vers Olbia pour le vol retour.
La Vallée de la Lune
Après une bonne heure de route depuis Olbia en direction de l’est en passant à travers les terres, la campagne se pare peu à peu de collines et de rochers aux formes étranges. C’est la Valle della Luna (la « vallée de la lune » pour les non-bilingues haha). C’est un vaste plateau situé près de la commune d’Aggius. Son aspect lunaire vient des nombreux et énormes blocs de granite qui parsèment le paysage. Ils ont été érodés et travaillés par l’érosion durant les dernières périodes de glaciations. Toutes ces formes étranges ont contribuées à l’imaginaire humain. On trouve d’ailleurs au nord d’Aggius un important site archéologique datant de l’an -1500, le Nuraghe Izzana. C’est aussi une région où on peut faire plein de chouettes randonnées sur les hauteurs granitiques 🙂

Mais nous n’avions pas le temps durant ce séjour, alors nous avons juste profité de la très belle vue depuis ce belvédère en suivant la route SP74 🙂
Attention, il ne faut pas confondre cette zone avec un autre endroit en Sardaigne qui s’appelle aussi Valle della Luna. L’autre site est une petite vallée sur la côte à Capo Testa.
Le village de Castelsardo
Une trentaine de kilomètres plus loin, nous arrivons en vue de Castelsardo. Ce village pittoresque est fondé par les génois au XIIe siècle. Construit sur un promontoire rocheux, il est considéré comme un des plus beaux villages de l’Italie. Nous voulions nous promener dans les ruelles colorées, grimper jusqu’au château des Diora perché et découvrir le côté moyenâgeux. Sa spécialité, c’est le tissage et la confection de paniers typiques.

Avant cette visite, nous avons trouvé un très chouette restaurant avec cette belle vue panoramique sur Castelsardo. C’est le Ristorante Rocca ‘Ja (Via Sedini, 240). Tout était véritablement excellent et je vous le recommande vraiment 🙂 En plus on s’y gare sans aucun souci. Pour la digestion, l’idée de grimper dans les rues sous le soleil ne nous tentait plus vraiment, c’est étrange! 😉
Spaggia Di Cala Li Cossi, la perle de la Costa Paradiso
Une bien meilleure idée, c’est de passer l’après-midi à la plage! Je tenais absolument à découvrir la plage de Li Cossi. C’est une des plus belles plages du nord de la Sardaigne et la perle de la côte du paradis. Direction justement la localité de Costa Paradiso. Pas grand chose à voir dans cette commune. Il faut pousser jusqu’à l’hôtel Costa paradiso et croiser les doigts pour qu’il reste de la place sur le petit parking. Ensuite il va falloir marcher une dizaine de minutes le long d’un chemin côtier. La plus belle plage se mérite 😉 Il y aura quelques escaliers à gravir mais rien de trop difficile. Et tous ces rochers colorés plongeant dans l’eau bleue, c’est tellement beau!

Puis arrive la récompense quand on découvre Li Cossi : une magnifique plage isolée, des eaux turquoises et un littoral rocheux et sauvage préservé.

Cette crique est véritablement un petit coin de paradis 🙂
C’est l’endroit parfait pour explorer les rochers immergés avec son masque et tuba. L’eau est vraiment limpide. Comme il faut marcher un peu pour venir et que le parking n’est pas très grand, il n’y a pas la foule. En vérité je vous le dis, cette plage est une perle! 😉


Il y a même un petit bar à l’extrémité de la plage. Pour les plus courageux, vous pouvez continuer de vous promener le long du littoral rocheux en continuant sur le sentier.
Alghero, la petite Barcelone
Nous arrivons ensuite dans la ville d’Alghero. Un des plus grands ports phéniciens existait ici, et la ville d’Alghero est officiellement fondée par les génois au XIe siècle. Mais en 1354, les espagnols du royaume d’Aragon prennent le contrôle de la cité et y installent de nombreuses familles de Catalogne. Ils resteront au pouvoir jusqu’en 1720! C’est la seule ville d’Italie où le catalan est une langue officielle (l’alguerès, toujours parlé et compris par une bonne partie de la population). Cet héritage espagnol fait que parfois on ne sait plus trop si on se promène dans une ruelle italienne sarde, ou dans une ruelle espagnole avec tapas & paella. La ville est donc surnommée la petite Barcelone 🙂


Pendant longtemps le commerce et l’artisanat du corail rouge était une spécialité de la ville. Cet or rouge a véritablement contribué à la richesse d’Alghero. Maintenant le corail rouge est protégé (et de plus en plus rare avec le réchauffement climatique). Si le sujet vous intéresse, vous pourrez visiter le petit Musée du Corail (Via XX Settembre, 8). Le vieux centre ville historique d’Alghero ne possède pas vraiment de grands monuments à part la petite cathédrale et l’église Chiesa di San Michele Arcangelo avec son dôme coloré. En revanche la ville a conservé une bonne partie de ses remparts et fortifications du XIe siècle. Ils offrent maintenant une agréable promenade en corniche le long de la mer.


Alghero a surtout était un prétexte pour se perdre dans le labyrinthe de petites ruelles. Je vous partage d’ailleurs trois bonnes adresses de notre séjour 🙂
- Un sympathique petit resto de ruelle ambiance tapas avec Mon Bar Bistrot (Via Minerva, 7)
- L’endroit parfait pour passer une bonne soirée : le Proseccheria Umpare (Placeta de Santa Creu, 7). Ce bar est sur petite place collée aux remparts. L’ambiance est vraiment cool et il y a du bon vin. Allez-y vous ne le regretterez pas!
- Et si vous cherchez un endroit festif où finir votre soirée (ou commencer votre nuit haha) alors filez au bar le Mill Inn (Via Majorca, 37)! C’est le pub fiesta du centre ville d’Alghero. Bières, musique, concert et rencontres. On y a vraiment passé une très chaleureuse soirée 😉
Alghero c’est aussi le point de départ pour découvrir plusieurs sites de la région.
La Grotte de Neptune
C’est un des spots les plus connus de la région. Sur le port d’Alghero de nombreux bateaux proposent l’excursion jusqu’à la fameuse Grotte de Neptune située à une vingtaine de kilomètres. En théorie, l’excursion en bateau dure environ 2h (environ 40 minutes de navigation pour y aller, une petite demi-heure sur place, et 40 minutes pour le retour). Le billet aller-retour jusqu’à la grotte coute 18€. Attention, le billet d’entrée dans la grotte n’est pas inclus! Il faudra l’acheter sur place (14€, prévoyez de la monnaie si jamais le réseau ne passe pas pour le tpe).


On embarque donc fièrement sur notre navire à destination de la grotte. Le vent ébouriffe nos cheveux, on profite du grand air. Une sortie en bateau, c’est toujours agréable! On longe la côte et on découvre les grandes falaises de calcaire à Capo Galera et Capo Giglio.


Puis on arrive enfin à l’entrée de la fameuse grotte! Et là c’est le drame 🙂 À cause du vent qui ébouriffe nos cheveux, l’approche de la grotte est plus que périlleuse. Le bateau doit réussir à s’approcher au plus près sans s’écraser contre les rochers et la falaise. Après plusieurs tentatives, il abandonne, c’est trop dangereux. Retour au port sans la visite de la grotte haha! C’est en fait assez fréquent que le bateau ne réussisse pas à s’amarrer à l’entrée de la grotte. Mais ça on ne vous le dit pas trop. Donc moi je vous le dit! Si vous voulez visiter les grottes de façon certaine, il faut choisir une autre option que le bateau.

Mais vous allez voir que l’autre option n’est pas forcément beaucoup plus simple. La seule autre possibilité c’est via l’escalier Scala del Cabirol, construit en 1954 dans la falaise haute de 119m. Il faudra être prêt à descendre les 656 marches (et idem pour remonter). Cet escalier est au bout de la route SP5 à la pointe de Capo Caccia. Sauf qu’il est interdit de se garer le long de la route ou sur la minuscule place. Le parking le plus proche, c’est celui du belvédère de Foradada, mais bon courage pour grimper les 20min à pieds le long de la route. La solution, c’est donc d’utiliser le service de navette. On peut la prendre depuis un parking gratuit derrière la plage de Mugoni. Le billet coute 5€ et il y a un bus par heure. Et ce n’est pas tout! Il faut impérativement réserver l’accès à la grotte et à l’escalier en ligne sur leur site web ici! Et si vous arrivez en retard, c’est foutu!
Et cette fameuse grotte alors ? Avec plus de 150.000 visiteurs par an, c’est un peu une usine à touristes. Elle est probablement jolie et intéressante, avec ses stalactites, son lac intérieur etc … Mais à mon avis, elle est surcotée et trop chère. Vous me direz si vous avez kiffé votre visite 🙂
Spiaggia di Mugoni
Pour se remettre de cette relative déception, heureusement, il y a la plage! Direction donc la grande plage de Mugoni 🙂 Elle est située au fond de la baie de Porto Conte, exposée plein sud. Grâce à cette position, elle est à l’abri du vent et ses eaux sont calmes.

Du sable fin et doré, une grande pinède, et de l’eau transparente. C’est le paradis!
Cette plage est évidemment très populaire, mais avec ses 2km de longs, vous trouverez toujours un endroit pour vous poser 🙂

On peut apercevoir au loin la silhouette du Capo Caccia qui se détache à l’horizon.
Le Parc de Porto Conte et Capo Caccia
Le parc régional naturel de Porto Conte englobe toute la zone de la baie. Depuis 1999, la grande forêt Prigionette qui recouvre tout le Capo Caccia est protégée, et ça fait vraiment plaisir à voir 🙂 Elle abrite parait-il de nombreux cerfs et sangliers. Plus d’infos sur le site officiel.

Le Capo Caccia, c’est la presqu’ile calcaire au sud ouest de la baie. Son nom viendrait de la chasse aux pigeons qui étaient pratiquait par la noblesse depuis leurs embarcations autour des falaises.
La balade amène obligatoirement au grand belvédère Foradada. Là, on en prend plein les yeux. À plus de cent mètres au dessus du niveau de la mer, les falaises donnent le vertige!

Juste en face, on aperçoit l’ilot de Foradada battu par les vagues de la Méditerranée. Le spectacle est vraiment de toute beauté 🙂


Cet endroit magnifique recèle une autre surprise. Depuis le parking il faudra suivre un sentier bien pentu à travers la végétation. Il n’est pas toujours bien indiqué, il faut suivre les balises blanches et rouges (ne pas y aller en tongs!). Certains passages sont très proches des falaises, il ne faut pas avoir le vertige. Vous croiserez sans doute d’ailleurs des pratiquants d’escalade qui s’entrainent sur les parois des falaises.

Au bout d’une trentaine de minutes on arrive à cette petite grotte cachée. Voici la Grotta delle Brocche Rotte! La vue est juste incroyable 🙂 En plus ici, vous ne serez pas au milieu de la foule des touristes. Un chouette bon plan!

Après cette belle journée dans la baie, nous terminons par un apéritif dans le bar de la marina de Porto Conte 🙂
La plage de La Pelosa
Ah la plage de La Pelosa! On la trouve à la pointe nord-ouest de la Sardaigne, à une heure de route environ depuis Aleghro. C’est LA plage mythique, considérée comme une des plus belles plages d’Europe. Mais c’est à la fois la plus belle et la pire des plages! C’est une plage de sable ultra fin. Les eaux sont incroyablement transparentes, et on a de l’eau jusqu’au genoux sur des dizaines de mètres. Elle est protégée des vagues par des récifs. Bref tout est parfait!

Oui mais non. C’est en réalité un mince banc de sable entre la pointe de la Pelosa, l’ilot de Piana et l’ile d’Asinara. Et ce paradis a un prix. Cette plage est protégée comme un trésor. Il y a une jauge limitée à 1500 personnes par jour sur cette petite plage (et c’est déjà beaucoup car malgré tout la plage est archi bondée, elle n’est pas très grande). Interdiction de fumer et interdiction d’utiliser sa serviette de plage sans un matelas homologué en dessous pour ne pas emporter de sable! Il y a régulièrement des patrouilles et des amendes sont distribuées! La réservation est obligatoire pour accéder à la plage. Pour obtenir le QRCode qui sert de sésame (4€ par personne), ça se passe ici sur le site officiel. Il faudra aussi trouver une place pour se garer (stationnement payant), et ça c’est pas gagné!

Pour vous éviter tout ce stress inutile (on est en vacances après tout) et profiter un peu malgré tout de ce cadre naturel qui est réellement incroyablement beau, vous pouvez vous garer le long de la route. Et certains passages permettent de descendre jusqu’à la mer.


À la place du sable fin des cartes postales il y aura des rochers. Mais vous nagerez toute de même dans les eaux de la plus belle plage du monde 😉
Les rochers de Capo Testa
Au nord de la Sardaigne, il y a un endroit à découvrir absolument, c’est la péninsule de Capo Testa. Après avoir traversé l’isthme étroit et longé la grande plage Rena di Ponente (sable fin, eau translucide, l’impression d’être à la piscine, parking 2€/h) la route s’achève au milieu de nul part sur un petit parking.


Il suffit ensuite de suivre les différents sentiers pour se perdre dans un monde à part, entre énormes blocs de granit, maquis verdoyant et coloré et les eaux bleues de la Méditerranée.
Cette péninsule était utilisée par les romains pour extraire des blocs de pierres qui étaient directement chargés sur des navires. On pense d’ailleurs que les grandes colonnes du Panthéon à Rome viennent de Capo Testa. Plus tard, le site a servi pour abriter des colonies de lépreux puis des bandits et contrebandiers jusqu’au XIXe siècle. Pendant des années, c’était un point de ralliement des hippies italiens.


Capo Testa regorge de petites criques discrètes et de piscines naturelles où il fait bon se baigner. Mais c’est surtout un endroit où se balader et se perdre au milieu de ces rochers aux formes toujours plus étonnantes les unes que les autres.

Un petit phare haut de 23m est discrètement installé entre les rochers depuis 1845. Sa lumière est visible depuis la Corse qui est juste en face.


Les formations rocheuses érodées par le vent et l’eau au fil des millénaires composent un paysage à couper le souffle. On ne s’en lasse pas! Même si la presqu’ile n’est vraiment pas très grande, on peut facilement y passer une heure ou deux tellement on a envie d’en explorer les moindres recoins.

En fin de journée, les couleurs sont encore plus belles. Il n’y a presque plus personnes. C’est vraiment un endroit splendide et sauvage qui reste gravé dans les mémoires. Allez-y, vous ne le regretterez pas! 🙂
Santa Teresa Gallura
La jolie petite commune paisible de Santa Teresa Gallura est à seulement 5km de Capo Testa. En regardant vers la mer, juste en face, on aperçoit les falaises de Bonifacio en Corse, à seulement 13km à vol d’oiseau. Une ligne de ferry relie d’ailleurs le port de Bonifacio et celui de Santa Teresa Gallura (une heure de traversée). Si vous en avez le temps, vous pouvez visiter le site préhistorique de Nuraghe Lu Brandali, une des nombreuses tombes de géants qu’on retrouve en Sardaigne. C’est vraiment juste à la sortie du village.


Plus récemment, il y a un vestige de l’occupation espagnole avec la Tour de Longonsardo construite en 1577 pour protéger la côte des attaques. La commune dispose aussi de la jolie plage Rena Bianca, facilement accessible à pieds depuis le centre ville … mais avec un accès payant à 3.50€ et l’obligation d’avoir une natte de plage à mettre sous sa serviette. Pour nous, c’était une arrivée en fin d’après-midi. La visite de Santa Teresa Gallura s’est principalement limitée à des apéros en terrasse et un bon repas dans le Ristorante Mediterraneo Santa Teresa Gallura (Via Amsicora, 7), et c’est déjà pas mal 🙂
Les îles de La Maddalena
Pour terminer ce séjour en beauté, direction les îles de La Maddalena 🙂 C’est un archipel de sept îles, surnommée les « sept sœurs », et seulement trois sont habitées. Toute la zone fait partie d’un Parc National créé en 1994 et donc la nature y est belle et préservée. Pour rejoindre ce petit coin de paradis, il faut prendre le ferry à Palau. Pas besoin de réserver, il y a un ferry toutes les 30 minutes, on achète le billet tranquillement sur place (pour le trajet aller-retour, il faut compter 19.60€ pour la voiture et 7.80€ par passager). Plus d’infos ici.


Sur l’archipel, en plus de l’italien, on parle un dialecte très proche du Corse (suite à une forte immigration au XVIIIe siècle). Etrangement la petite ville de La Maddalena est surnommée « la petite Paris » et je n’ai pas trop vu pourquoi.


Après une rapide déambulation dans le centre historique et un repas rapidement avalé, il est temps de se diriger vers l’objectif de la journée!


L’idée était de finir le séjour sur une petite plage isolée et sublime dans l’archipel des Maddalena. Alors direction l’île de Caprera en traversant un long pont. L’île est connue pour avoir été achetée par Giuseppe Garibaldi, un des fondateurs de l’unité italienne. Puis l’île a servie de terrain militaire, ce qui l’a préservée des méfaits du tourisme. C’est une terre sauvage et naturelle, traversée par à peine quelques routes et sentiers au milieu de la garrigue. Parmi les différentes plages de rêves possibles, j’avais choisi la plage de Cala Serena 🙂


Une fois garé tant bien que mal sur le bord d’une piste en terre, il faudra encore marcher une dizaine de minutes sur un petit sentier avant de découvrir ce petit paradis caché.
Quasiment personne à l’horizon, on devait être une dizaine à tout casser sur cette plage sauvage. Aucune installation autour. Une magnifique piscine naturelle devant soi. Elle est pas belle la vie? 😉 En plus les rochers servent d’excellents plongeoirs. À la limite, le seul défaut de cette plage serait la présence de guêpes assez fréquente, mais personnellement je n’en ai pas vu. Evitez d’apporter de la nourriture et tout devrait bien se passer 🙂

C’est sur cette très belle journée que s’achève ce petit périple dans le nord de la Sardaigne.
J’espère que ça vous aura donné envie d’y aller vous aussi! En tout cas moi, ça me donne déjà envie de découvrir le reste de l’île 😉 Hop en route!
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