Bienvenue à Bordeaux! :-)

Bienvenue à Bordeaux! La Capitale mondiale du vin sur les bords de la Garonne vous attend. Il y a plein de belles choses à découvrir. Je vous propose les principaux sites à découvrir dans la sixième plus grande ville de France. Allez, c’est parti, hop en route! 🙂

Un peu d’histoire 🙂

La ville de Bordeaux a deux mille ans d’histoire, mais je vais essayer de faire bref 😉 Elle est fondée au Ier siècle par les Bituriges. C’est une peuplade gauloise originaire du Berry. Ils sont chassés de leurs terre par les armées de Jules César. C’est la seule population de cette région qui parle le gaulois. Tous les autres parlent l’occitan. Sous l’Empire Romain, Bordeaux, ou plutôt Burdigala, devient une des villes les plus importantes de Gaule. Les premiers plants de vignes à l’origine du vignoble bordelais sont implantés en l’an 40. Après la chute de l’Empire, c’est les invasions Wisigoths, le règne des Francs, puis la conquête Arabe et les invasions vikings. La ville fait ensuite partie du grand Duché d’Aquitaine mais n’a pas trop d’importance et passe sous influence de l’Angleterre. Après son retour sous l’autorité royale française, la ville ne prendra véritablement son essor que grâce à son port (et la traite négrière). Du XVIIe au XIXe siècle, c’est la grande période de prospérité. La ville traverse ensuite le temps avec le surnom de « la belle endormie » pour illustrer son austérité et son côté bourgeois (voir royaliste). Après Paris, c’est la deuxième ville de France qui compte le plus grand nombre de monuments classés. C’est finalement à partir des années 2000 que Bordeaux prend un nouvel essor et redevient une ville véritablement dynamique et en mouvement 🙂

Les rues de Bordeaux

Un très bon moyen pour découvrir les rues de Bordeaux, c’est de le faire à vélo. La ville est plate, et il est assez facile de se déplacer malgré la circulation. On remarque vite qu’il n’y pratiquement aucun grands immeubles. Les habitations dépassent rarement les trois étages. Le must étant les fameuses « échopes » bordelaises, les anciennes maisons d’artisans qui s’arrachent maintenant à prix d’or. Tout ça fait que la ville donne une impression d’ouverture bien agréable. On voit le ciel ! Et ça tombe bien, car à Bordeaux, il est souvent bleu ciel 🙂

Une autre chose qui m’a marqué dans les ruelles du vieux centre, c’est la verdure. Au pied de chaque mur de chaque maison, entre les pavés, ça pousse ça pousse.

C’est peut être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup 😉 Quand c’est vert, c’est bien!

La Place de la Bourse

La Place de la Bourse est aménagée en 1743 comme symbole de prospérité de la ville. On veut donner une première image accueillante aux visiteurs qui viennent de la rive droite de la Garonne. On veut ouvrir la ville sur le fleuve et lui donner de la modernité. Alors on fait détruire les antiques remparts du moyen-age. A la place, on créé une grande place royale ouverte, ce qui est une première en Europe. Une grande statue en bronze de Louis XV à cheval trônait au centre. Après la révolution, la statue est fondue pour faire des canons. En 1869, on remet quelque chose de plus discret, la Fontaine des Trois Grâces.

L’Hôtel des Douanes et la Bourse du Commerce étaient installées ici. C’était le lieu par lequel toute la richesse bordelaise transitait.

Le Miroir d’eau

Juste en face de la Place de la Bourse, il y a le Miroir d’Eau. Il est sans doute plus célèbre, ou en tout cas, il attire beaucoup plus de monde dès qu’il fait beau 🙂 Depuis 2006, une cuve de 800m3 permet de submerger l’esplanade d’une petite pellicule d’eau de 2cm, et de vaporiser de l’eau jusqu’à 2m de haut.

En période de fortes chaleurs, c’est bien sûr l’endroit où tout le monde vient pour se rafraichir et faire trempette des pieds.

C’est devenu sans aucun doute une des images connues de Bordeaux 🙂

Le Port de la Lune

La Garonne est intimement liée à Bordeaux depuis une éternité. Les premiers habitants se sont installés là où le fleuve fait un virage en forme de croissant, ou forme de lune. C’est d’ailleurs cette forme de lune qui a été utilisée pour le blason de la ville. Tout le long de grand croissant, le Port de la Lune se créée à partir du VIe siècle. La prospérité de la ville lui doit beaucoup.

Sa principale activité sera d’abord le commerce de vin vers l’Angleterre et les pays flamands. A la fin du XVIIIe siècle, le Port de la Lune est le deuxième plus important au monde après celui de Londres. Ensuite le port dirige commerce vers les colonies et les Antilles. Il commence aussi à s’enrichir grâce à l’esclavage. Après le port de La Rochelle, Nantes et Le Havre, le port de Bordeaux se lance dans la traite négrière et le commerce triangulaire. Des africains étaient fait prisonniers dans les terres (par des colons européens, des trafiquants arabes, et par des africains). Sur la côte, les négriers africains échangeaient les esclaves contre de la marchandise avec les négriers européens. Puis les navires traversaient l’Atlantique pour se rendre dans les Amériques. Ils échangeaient les esclaves contre des produits du nouveaux monde. Ils revenaient ensuite en Europe, et la terrible boucle continuait… Jusqu’en 1792, c’est plus de 150.000 esclaves africains qui seront envoyés par les armateurs bordelais de l’autre côté de l’Atlantique.

On retrouve une trace de ce passé peu glorieux de la ville avec la statue de Marthe Adélaïde Modeste Testa. Cette femme, esclave d’un riche bordelais, sera envoyée à Saint Domingue. Elle meurt en 1870, âgée de 105 ans. Son petit fils deviendra président d’Haïti en 1888.

Avec la construction du Pont de Pierre et la fin de l’esclavagisme (en 1848), le Port de la Lune perd peu à peu de sa puissance commerciale. Il retrouvera de l’importance pendant la Première Guerre Mondiale (pour débarquer des troupes américaines) et pendant la Seconde Guerre Mondiale. Les nazis y construisent une grande base de sous-marins. A la fin de la guerre, ils projettent de tout faire exploser mais un jeune soldat allemand refuse l’ordre et fait sauter l’entrepôt à explosif à la place. Les allemands saborderont tout de même plus de 200 navires dans les eaux de la Garonne pour en empêcher son utilisation. Il en reste encore 80 qu’on peut voir à marée basse. De nos jours, la majorité des installations du Port de la Lune ont été transformées en jardins et parcs pour flâner au bord du fleuve 🙂

Le Pont de Pierre

Depuis l’antiquité, la Garonne représente un obstacle infranchissable. Le flux et le reflux des marées est important et il y a des crues violentes. Le seul de traverser le fleuve pour rejoindre la ville était d’utiliser des barques. En 1775 un projet de pont est proposé à Richelieu, mais il est abandonné car on juge sa réalisation impossible. En 1808, Napoléon est de passage à Bordeaux pour rejoindre Bayonne. Il se rend compte de la difficulté pour lui et ses troupes de rejoindre Bordeaux et traverser la Garonne. Il ordonne alors la construction d’un grand pont!

Le pont de Pierre est inauguré en 1822. Tout en pierres et en briques, il compte 17 arches et mesure 487m de long. Grâce à ce pont, la ville de Bordeaux prend officiellement possession en 1865 du quartier de La Bastide situé sur l’autre rive. Une grande percée est créée (l’Avenue Thiers) pour faire une perspective jusqu’aux coteaux de Cenon. Les allemands ont faillit faire exploser le pont en 1944. Jusqu’en 1965, c’était le seul pont où on pouvait circuler.

Les portes médiévales

De l’époque médiévale de Bordeaux, il ne reste pas grand chose. Les maisons ont été reconstruites, les remparts rasés. Pourtant, il reste encore deux grandes portes médiévales qui gardaient l’entrée de la ville. La Porte Cailhau est construite en 1495. Quand on venait du port, c’est par cette grande porte fortifiée de 35m de haut qu’on pouvait pénétrer dans Bordeaux. Elle abrite maintenant un petit musée sur l’histoire de Bordeaux. On peut le visiter et aussi profiter de la vue (5€ l’entrée).

L’autre grande porte, c’est la Porte Saint-Eloi. C’est la plus ancienne et la plus grande avec 40m de haut. C’est l’emblème de la ville, elle figure toujours sur les armoiries de la cité. Tout le monde l’appelle la Grande Cloche. On la faisait sonner pour donner le signal des vendanges ou pour alerter d’un incendie. La cloche actuelle date de 1775 et pèse presque 8 tonnes. On ne la fait presque plus sonner pour éviter vibrations sur le bâtiment. La porte a aussi servi de prison. Elle aussi peut se visiter pour 6 euros.

Sur l’actuelle Place de la Victoire, l’ancienne porte médiévale du sud a été remplacée en 1748 par un arc de triomphe qui porte le nom de Porte d’Aquitaine. colonne de la vigne et du vin et porte d’aquitaine

La place est aussi connue pour son obélisque hélicoïdale installée en 2005. C’est la Colonne de la Vigne et du Vin. C’est le premier monument bordelais en référence au vin. Elle fait 16m de haut. A son pied, il y a deux tortues avec des grappes de raisin et les noms des cépages sur leurs carapaces.

Le quartier est très vivant avec le campus de l’Université juste à côté et le grand marché des Capucins.

Dans le prolongement de la Porte d’Aquitaine, c’est la rue Sainte Catherine. C’est la plus longue rue piétonne d’Europe!

Plus de 250 boutiques sont présentes le long des 1250m de la rue! Autant dire que c’est un véritable centre commercial à ciel ouvert. C’est une des rues les plus fréquentées de la ville.

La Cathédrale Saint André et la place Pey-Berland

Sur la place Pey-Berland se trouve la Cathédrale Saint André. C’est le plus important lieu de culte de Bordeaux. Elle est construite à partir du XIe siècle dans le style roman. En 1305, il y a un nouveau pape : Clément V. C’est un ancien archevêque de Bordeaux qui va installer la papauté à Avignon. Il n’oublie pas ses origines et donne de l’argent pour agrandir la cathédrale dans le style gothique.

Malgré ses grandes dimensions et son classement à l’Unesco, je trouve que l’intérieur de la cathédrale est étroit, froid et sombre. J’avoue qu’elle ne rentre pas dans mon top des cathédrales de France.

Sur la place aménagée autour de la cathédrale se dresse une grande tour isolée. C’est la Tour Pey-Berland. Elle est construite en 1500 à la demande de l’archevêque Pey-Berland. Au sommet il y a une statue dorée de la Vierge, qui est tournée vers le village de naissance de l’archevêque.

Elle atteint 66m de haut! Il y a une raison pour laquelle elle n’est pas collée à la cathédrale. Malgré les fondations, le sol est marécageux. On craint que les vibrations de la grosse cloche puissent se transmettre et abimer la structure de la cathédrale. Ce type d’aménagement est commun en Gironde.

Sur cette même place on trouve le Palais Rohan. C’est l’ancien palais des archevêques de Bordeaux au XVIIIe siècle. Après la Révolution, il devient un tribunal, puis un Palais impérial sous Napoléon avant de finir par être l’hôtel de ville de Bordeaux depuis 1865.

En face de sa porte monumentale, il y a une statue. C’est celle de Jacques Chaban-Delmas. Cet ancien résistant, sera un des barons du gaullisme, premier ministre et maire de Bordeaux de 1947 à 1985.

La Basilique Saint-Michel

La Basilique Saint-Michel est la deuxième plus grande église de Bordeaux après la cathédrale. Elles est construite du XIVe au XVIe siècle dans le style gothique flamboyant. Elle devient une étape importante du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle.

On la repère très facilement dans la ville, car son clocher mesure 114m de haut! Comme souvent en Gironde, le grand clocher est séparé de l’église. En 1768 une terrible tempête fait s’écrouler la flèche du clocher. Elle ne fera son retour qu’un siècle plus tard, en 1869 lors de travaux de restauration. Entre temps, le clocher, presque réduit à l’état de ruines, servait de support pour le télégraphe de Chappe (un système de communication par sémaphore utilisée après la Révolution, et avant l’invention du télégraphe électrique).

En 1791, lors de travaux de terrassement de l’ancien cimetière autour du clocher, on découvre des momies! En fait des cadavres du XVIIe siècle se sont naturellement momifiés dans la terre argileuse. Dans la crypte située sous le clocher, ils seront exposé au public jusqu’en 1979 comme une attraction! On les a ensuite enterré à nouveau, mais cette fois dans le cimetière de la Chartreuse, à l’ouest de la ville.
Attention : Le clocher est actuellement fermé à la visite pour cause de travaux. Réouverture à une date indéterminée …

L’intérieur de la basilique, même s’il est simple, inspire sérénité et recueillement. C’est large et vaste. La nef est éclairée par des larges vitraux dont certains datent du XVIe siècle.

Les grandes orgues de style Louis XV sont particulièrement belles 🙂

La Place des Quinconces

La Place des Quinconces est située sur l’emplacement de l’ancien Château Trompette. Quand, en 1453, la ville de Bordeaux revient sous autorité française après 300 ans d’influence anglaise, le roi de France Charles VII se méfie et décide la construction d’un château. Le but est de protéger la ville, mais aussi de surveiller la population (on ne sait jamais!). Après une première révolte de la population, le château est transformé en forteresse. Des quartiers entiers sont rasés, et les maisons ne doivent pas être trop hautes pour permettre aux canons des remparts de tirer sur la ville si nécessaire! Bien plus tard, en 1818, la forteresse (impopulaire) ne sert vraiment plus à rien et gêne beaucoup le développement de la ville. Elle est entièrement rasée, et à sa place, on créée la Place des Quinconces. Avec une superficie de 12 hectares, c’est la plus grande place de France.

Deux grandes colonnes de 21m de haut marquent l’ouverture de la place sur la Garonne. Son esplanade accueille les grandes foires commerciales et les fêtes foraines (comme la Foire aux Plaisirs). Son nom vient des arbres qui sont plantés en quinconce sur la moitié de sa superficie.

Au centre de la place, en 1902, on érige le grand Monument aux Girondins. Ce monument n’est en fait pas dédié aux habitants de la ville, mais aux « députés Girondins ». Sous le règne de la Terreur lors de la Révolution Française, huit d’entre eux seront exécutés à Bordeaux.

Cette grande colonne qui célèbre la République mesure 43m de haut. Au sommet se trouve une statue en bronze de la Liberté brisant ses chaines.

Dans le bassin on retrouve des statues sensées représenter la république, le travail, l’histoire, la sécurité, etc …

Le Jardin Public

Le Jardin Public de Bordeaux était à l’origine une zone recouverte de mauvaises vignes. En 1756 on en fait un jardin à la française de 10 hectares. Après la Révolution, tout est détruit. En 1856, on décide d’en faire un jardin à l’anglaise. Des grands hôtels particuliers entourent le jardin. La bourgeoisie bordelaise vient s’y détendre.

Le jardin est toujours plein de charme avec ses passerelles, ses allées sinueuses et ses grandes pelouses vertes. Il y a aussi une buvette, un carrousel et des installations pour les enfants. On est au calme, on n’entend pas les voitures alors qu’on est en plein centre ville. C’est un véritable havre de paix 🙂 Au milieu des différentes statues qui ornent le jardin, on peut même découvrir une petite cascade artificielle.

Il y avait un grande serre tropicale dans le jardin. Malheureusement, elle est mal entretenue et dans les années 1920 la serre est détruite.

Il reste maintenant le pavillon de l’ancienne serre et un joli jardin botanique derrière. Le muséum des Sciences et de la Nature de la ville est situé le long du jardin. Le Jardin Public est sans doute le plus bel espace vert de Bordeaux 🙂

Le Grand-Théâtre de Bordeaux est construit à la demande de Richelieu et inauguré en 1780. Cet énorme bâtiment avec sa façade de 88m de long est maintenant l’Opéra National de Bordeaux. Pour le visiter ou voir la programmation, il faut cliquer ici.

Devant l’opéra il y a la Place de la Comédie. Sous l’Empire Romain c’est ici qu’était le Forum, le cœur de la ville. D’ailleurs pendant des siècles et des siècles, il restait les Piliers de Tutelle. Il s’agissait de 24 énormes colonnes romaines. Elles ont été détruites quand le Château Trompette a été agrandi en forteresse.

La Palais Gallien

Ce monument est presque oublié dans la ville. On le découvre par hasard au détour d’une rue. Pourtant, il s’agit des ruines d’un amphithéâtre romain de 132m de long et 25m de haut! On pense qu’il pouvait accueillir jusqu’à 22.000 spectateurs. On sait qu’il a été victime d’un incendie dans l’antiquité puis abandonné.

Pendant le moyen age il sert de carrière de pierres. La légende populaire n’y voit plus un amphithéâtre romain mais un palais. En tout cas à l’époque c’était un des endroit les plus glauques de Bordeaux. Ces ruines étaient le repères des truands et des prostituées. Les ruines sont protégées à partir de 1800.

Le Parc Rivière

Avec une surface de 4 hectares, c’est un des plus petits parcs de Bordeaux et sans doute un des moins connus. Et pourtant, c’est un parc qui mérite le détour. Il s’agissait de la propriété du manoir du baron Alfred de Luze.

Les ruines du manoir sont toujours présentes et sont vraiment curieuses avec le mélange de style. Le parc et ses arbres centenaires abrite de nombreux oiseaux, ainsi que des ruches. C’est vraiment un chouette petit parc insolite à découvrir! 🙂

L’Institut Culturel et la Grande Maison de Bernard Magrez

Bernard Magrez est un riche homme d’affaire bordelais qui a fait fortune dans le commerce du vin. On le surnomme « l’homme aux 40 châteaux » grâce à ses acquisitions de vignobles de grands crus classés. Dans la rue Labotière, on découvre ainsi par hasard, un ancien château converti en Institut Culturel. Pour le visiter et en savoir plus sur sa programmation : en savoir plus.

Juste en face, de l’autre côté de la rue, c’est La Grande Maison de Bernard Magrez crée en 2014. En toute simplicité, c’est un petit hôtel 5 étoiles de 6 chambres de luxe. Et son restaurant dont le chef chef est Pierre Gagnaire possède 2 étoiles au Guide Michelin. Pour réserver une chambre ou une table, ça se passe ici (si vous en avez les moyens!).

L’Église Sainte croix

L’église Sainte Croix date du XIe siècle. Elle était associée à une abbaye qui a disparut il y a des siècles. Sa façade est vraiment curieuse avec sa disposition asymétrique. Elle possède un très beau portail sculpté.

Elle est rarement ouvert aux visites, car depuis des années elle subit des actes de vandalismes et des dégradations …

Dans le quartier de Caudéran, se trouve le plus grand espace vert de Bordeaux. Son nom est super original, c’est le Parc Bordelais. Il est inauguré en 1888 et s’étend sur 28 hectares. Il y a un grand étang artificiel (n’essayez pas d’y nager, il fait 40cm de profondeur).

Le parc est planté de plus de 3000 arbres dont la moitié sont centenaires. Il possède aussi une chouette buvette, une animalerie, tout un tas d’attractions pour les enfants dont un petit train. Des grandes allées sont à disposition des joggers.

Et pour ceux qui souhaitent simplement se reposer, il y a suffisamment de grandes pelouses et d’arbres pour profiter sereinement de la quiétude du lieu 🙂 C’est un véritable morceau de campagne dans la ville!

Talence

Au sud de Bordeaux, je vous conseille de visiter la commune de Talence. Le quartier du forum moderne autour de la station de tramway est moderne, vivant et animé. En plus dans le coin il y a un joli parc à visiter, c’est celui du Château Peixotto (construit pour un riche banquier en 1760).

Le parc est magnifique et se visite gratuitement. Il y a souvent des animations, comme les festival Talence en Lumières par exemple.

Et un peu plus loin ?

Et bien à 1h de route par exemple, on file profiter de la douceur de vivre à Arcachon et grimper sur la Dune du Pilat 😉

2 réflexions au sujet de « Bienvenue à Bordeaux! :-) »

  1. Belle approche de Bordeaux…mais Quid de la basilique Saint-Seurin et sa crypte.
    Et le jardin Majollan à Blanquefort …Avant Arcachon ne pas oublier St Emilion et le Médoc avec tous leurs vignobles et leurs châteaux.
    Il est sûr que la liste est trop longue .
    MERCI en tout cas pour votre aperçu.

    Répondre

    1. Bonjour 🙂 Oui je suis bien conscient qu’il manque encore des éléments, mais je vais compléter ça, j’y retourne bientôt 😉 J’espère en tout cas que cet aperçu est déjà intéressant et permet même d’apprendre quelques petites choses !

      Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *